→ CINÉMA

WOLKENBRUCH

Une comédie signée Michael Steiner

DU 18 AU 24 AU LUNCHKINO PUIS À PARTIR DU 25 OCTOBRE 2018

• AU LUNCHKINO PUIS EN SALLES



En savoir plus sur le film: ici

En présence de toute l'équipe le vendredi 19 octobre à 12h15 au Paris


Wolkenbruch PlakatBild


1 WOLKENBRUCH mood 0cfc98a784c4 Un film d'apprentissage... et de libération

 

 

 


WOLKENBRUCH de Michael Steiner, 2018, Suisse, 92', avec entre autres Joel Basman et Noémie Schmidt. Une adaptation du livre de Thomas Meyer.

L'HISTOIRE
Jusqu’ici, Motti Wolkenbruch a toujours écouté sagement ce que sa maman lui dit. Lorsqu’elle essaie de le caser et lui présente toute une série de prétendantes au mariage, Motti se rebelle et dévie de son parcours traditionaliste qu’impose la religion juive orthodoxe. À l’université, il tombe amoureux de Laura, qui n’est pas juive, mais aventureuse et effrontée. Sa maman est hors d’elle: que Motti entretienne une relation avec une «schicksa» n’est pas au programme. Motti se lance ainsi dans son magnifique voyage vers l’autodétermination, qui mêle nouvelles amitiés et peines de cœur. (zff)

NOTRE AVIS
Ce n'est pas tous les jours que Zurich produit une comédie tournée dans les rues des quartiers qu'on connaît, de Enge à Wiedikon en passant par le Kreis 5. Alors si le trait est parfois un peu lourd, les personnages (de la mère juive possessive à l'ancien rabbin converti aux bienfaits du yoga à Tel Aviv - Om Shalom!) un peu caricaturaux, on n'a pas du tout envie de faire les difficiles. Bien au contraire! C'est le jeu très juste de Joel Basman en jeune homme qui se libère de ses carcans familiaux qu'on a envie de louer. C'est la vivacité des dialogues qu'on souhaite souligner. C'est la possibilité d'entrer dans le quotidien d'une famille juive orthodoxe, même si tout n'est sans doute pas tout à fait juste, qu'on a apprécié.

Après «Grounding» ou encore  «Sennentutschi», Michael Steiner a signé là une comédie made in Zurich. Aura-t-elle autant de succès que «Mein Name ist Eugen»?

SCZ (29/09/2018) dans Belle vue sur le Festival de Zurich