Chaque année, c'est un peu la même chose...
Y'a...
d'la joie,
des regards qui ne trompent pas,
des beautés cachées,
des derrières harnachés,
d'autres dissimulés sous des robes longues, pourpres et dorées,
des tenues argentées,
peu de désargentés,
des voyages dans le temps,
des chevaux et des Pferdestärke,
et des gens derrière les grillages amassés.
Pour changer, cette année,
le Böögg
n'a pu brûler.
Le vent était trop fort,
alors
on ne sait pas encore
quel sera notre sort
ni le temps cet été...
Photos: Pascal Sigrist
Texte: Sandrine Charlot Zinsli
Publié le 18/04/2024